5 meilleurs appareils photo reflex pour débutant

Les appareils photo plein format sont sans aucun doute la meilleure solution pour ceux qui souhaitent prendre des photos avec une qualité d’image élevée.

Nikon et Canon étaient les maîtres, mais aujourd’hui, d’autres marques telles que Sony ou Panasonic sont également entrées sur le marché, rendant également les appareils photo reflex pour débutant et les appareils photo sans miroir moins chers et accessibles à tous.

TOP 5 meilleur appareil photo reflex pour débutant

On commence tout de suite avec Nikon et son modèle professionnel. Le dernier-né garde ses références modernes et performantes. Il conserve ses 24 mégapixels qui l’utilisent avec brio.

Pourtant, c’est un petit gabarit comparé à d’autres de cette gamme de reflex. Ce n’est pas un poids plume et son bloc massif laisse présager une capacité à encaisser tous les aléas de la vie et des voyages. Le boîtier est sobre et les touches de raccourcis et de contrôle sont nombreuses.

L’écran de contrôle sur l’épaule droit de l’appareil reste pratique et intuitif. Le menu est lui aussi toujours aussi intuitif et le tactile est appréciable. Il facilite la navigation. Il faudra par contre oubliez la possibilité de le bouger. Aucune rotule ne le permettre.

Sur ce modèle, Nikon décide de se débarrasser du flash intégré jugé bien souvent inutile par les amateurs qui préfèrent un flash externe. La visée optique est très confortable. 2 emplacements pour le stockage sont présents et accompagné d’un port HDMI et d’une sortie micro et casque.

Côté performances, l’appareil est rapide et seul l’autofocus en basse lumière vient noircir le tableau. Le mode rafale limité mais reste néanmoins efficace. Il est cependant complexe à mettre en route. La gestion du bruit électronique est excellente jusqu’à 6400 iso.

Enfin concernant la vidéo, Nikon propose un enregistrement en 4k ultra hd à 30 images par seconde. Si vous souhaitez tourné à 120 images par seconde, il faudra repasser sur un enregistrement en full hd. La qualité d’image vidéo reste bonnes.

Concrètement on aime la gestion de la sensibilité des basses lumières, la réactivité et l’autofocus de suivi efficace, le viseur optique agréable, le double espace de stockage, la tropicalisation et la prise de casque et micro.

On regrette par contre la limite de l’enregistrement à 30 images par seconde à le mode rafale avec suivi qui reste un peu juste et la gestion hautes lumières également limité.

Direction la concurrence de Nikon avec le dernier boîtier des Canon. Là encore l’identité de la marque reste intacte. Le 90D se veut être un appareil au large potentiel photographique. Un peu plus léger que son grand frère, le design n’évolue pas d’un poil.

Comme Nikon, le boîtier n’est pas aussi petit qu’un compact mais pas non plus aussi imposant que les anciens modèles reflex. Le gabarit se positionne bien entre ergonomie et compacité. En plus, on retrouve une poignée bien marquer. La visée optique est agréable. L’écran sur l’épaule droite et lui aussi grand et permet d’afficher toutes les informations nécessaires.

La construction générale semble solide avec l’arrivée d’une résistance aux intempéries. Cependant, le boîtier semble creux est la construction plastique pas sexy surtout pour un boitier de haut de gamme. L’appareil se destine principalement aux photographes avancés avec un nombre de boutons et de possibilités impressionnantes. Les débutants pourront toutefois s’y retrouver en prenant le temps d’appréhender le boîtier.

Le menu est accessible et rapide mais le choix de personnalisation des menus reste limité. L’écran tactile sur rotule permet de filmer et de voir le rendu directement. C’est l’un des plus gros avantages comparé à Nikon.

Côté performances, la réactivité est très bonne grâce à l’arrivée du processeur digic 8 qui améliore nettement les performances de l’appareil et plus particulièrement celle de la vitesse. Le mode rafale est bien maîtrisé ainsi que la gestion du bruit électronique jusqu’à 6400 iso. En revanche, le boîtier de l’attitude est encore juste surtout pour un produit de cette gamme.

Enfin concernant la vidéo, Cannon reste numéro un. Le 90D arrive avec de sérieux arguments comme la possibilité d’enregistrer en 4k ultra hd à 60 images par seconde pour un rendu extra.

Concrètement on aime le bon viseur, la tropicalisation de l’appareil, l’ergonomie globale agréable, l’écran sur une rotule, la très bonne réactivité et l’efficacité de la prise de vidéos en 4k sans recadrage.

Par contre on regrette les finitions aux allures low cost, l’absence de stabilisation mécanique et la latitude de travail encore limité.

On termine cette partie sur les appareils professionnels avec la marque Pentax. Au premier abord le K-70 a une carrure robuste et carré. Le revêtement noir lui donne un air très sérieux. Le placement des boutons est clair et efficace et permettra à tout le monde de s’y retrouver. La molette permet une navigation dans le menu toujours fluide.

La grippe en caoutchouc et la poignée creuse permettent une prise en main ferme. Ce Pentax se place dans le haut du panier et permettent aux grands débutants d’accéder au haut de gamme. Le viseur optique offre un champ de visibilité de 100% et l’écran arrière sur rotule offre une bonne définition. D’ailleurs, Pentax intègre un mode nocturne qu’ont apprécié qui atténue la fatigue des yeux.

L’appareil est dans l’ensemble costaud et résiste à la poussière, aux ruissellements et aux températures froides jusqu’à -10°. La qualité de fabrication est excellente.

Côté performances, la réactivité n’est pas son point fort. Les résultats sont cependant raisonnable et ne gâche pas l’utilisation. L’appareil est un peu long et bruyant même lorsque les conditions de lumière sont réunies. La gestion du bruit électronique est parfaite jusqu’à 12800 iso et dépasse les 2 gros de ce monde. La qualité des clichés est excellente. L’exposition et la dynamique sont bien meilleurs que chez Canon.

Enfin concernant la vidéo, rien d’exceptionnel à l’horizon. Le mode reste classique autorise à un enregistrement full hd à 60 images par seconde.

Concrètement on aime sa simplicité, le menu intuitif, la visée optique 100 %, l’écran sur rotule, la tropicalisation et la retouche trop intégré.

Par contre on regrette l’autofocus toujours à la traîne, l’écran non tactile et le mode vidéo encore trop classique.

De retour chez les débutants, on démarre avec Canon. Ce boîtier a l’avantage d’être extrêmement compact. La poignée bien creusé offre une bonne prise en main à condition d’avoir des petites mains. Les grands de ce monde se verront un peu plus gêné. Canon décide des purées la molette des modes de prise de vue et de laisser uniquement 7. Les choix sont judicieux et pratique une fois sur le terrain.

L’écran tactile sur rotule facilite la navigation entre les menus et l’existence d’une interface guidées pour les débutants facilite la prise en main pour les amateurs. Le petit ou gros défaut pour certains de ce Canon est la visée optique. Alors que la plupart des modèles concurrents opte pour un champ de vision à 100%, le 250D s’arrête à 95%.

Côté performances, la réactivité de l’appareil d’excellentes grâce à la combinaison de l’autofocus dual pixels et le processeur digic 8. Le mélange fait des merveilles même en basse lumière. Le mode rafale est quant à lui correct et la même art en points également.

Canon a fait de gros effort de ce côté pour homogénéiser le tout. La qualité d’image est quant à elle très correcte même en haute sensibilité ou lors d’une importante latitude d’exposition. Les gestions des bruits électroniques sont très bien géré jusqu’à 3200 iso. Enfin concernant la vidéo, l’appareil autorise de l’enregistrement en 4k à 30 images par seconde au prix d’un gros encadrages. Dommage, d’ailleurs l’enregistrement en full hd n’échappera pas non plus.

Concrètement on aime le menu convivial, l’écran sur rotule l’autofocus hybride rapide et la qualité d’image.

Par contre on regrette la visée optique un peu étriqué, l’absence de stabilisation du capteur, les fonctionnalités trop peu nombreuses et le recadrage vidéo.

On termine avec Nikon. Le D3500 est caractérisée par un gabarit réduit et un poids contenu. L’appareil et sa légèreté ne lui confère absolument pas un design haut de gamme. L’ensemble respire toutefois la solidité. L’appréhension est d’ailleurs bonne et sans fausse note. Si vous êtes un photographe avancé, vous regrettera les possibilités de personnalisation peu nombreuses. Globalement, le potentiel de l’appareil est limitée par ce manque de possibilités. Par contre, l’application snap bridge est gratuite et surtout pratiques pour la gestion des clichés via son téléphone.

Côté performances, on peut dire que la réactivité est son gros point fort. Sur ce point, il signe un sans faute. Le mode rafale atteint les doigts dans le nez les 5 images par secondes et peut faire bien mieux. C’est donc dommage de voir la mémoire tampon si limité restreignant ainsi les possibilités de prises en rafale. Le bruit électronique est également bien géré jusqu’à 3200 iso. On évitera absolument la prise de photos en 25600 iso qui ne donnera vraiment rien de génial.

Enfin concernant la vidéo, il faudra se contenter d’un enregistrement en full hd à 60 images par seconde. Pas d’ultra hd ni de 4k au programme.

Concrètement on aime la qualité de construction, la très bonne réactivité de l’appareil, la qualité d’image, le mode guide pour les débutants très bien fait et le flash intégré.

Par contre on regrette l’écran sans rotules, le manque de détails pour les vidéos et la mémoire tampon trop limitée comparée aux possibilités qu’offre le D3500.

Que pensez vous de ces modèles?